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Se libérer d’une addiction

De l’occasion à l’addiction

Il y a certains produits ou aliments que l’on consomme avec goût et qui pourtant nous sont nocifs ; consommés sans modération ils peuvent même nous intoxiquer. De même, certaines activités que l’on aime pratiquer peuvent nous desservir et affecter notre santé physique ou psychologique.

Dès lors que le bien-être quotidien est dépendant de la consommation de telle substance ou de la répétition de tel comportement, des effets indésirables sur la santé ou les relations sociales peuvent apparaître. Et si, malgré une volonté bien présente, la privation est source de tension et d’irritabilité, peut naître le sentiment d’être dans une impasse, prisonnier et impuissant.

On distingue deux catégories d’addictions :

  • Les produits (substances) : tabac, cannabis, alcool, caféine, certains médicaments, etc.
  • Les comportements : jeux d’argent, jeux vidéo et internet (cyberdépendance), travail pathologique (workaholism), dépendance à l’argent, achats compulsifs, dépendance au sport (bigorexie), etc.

Selon le type et le degré d’addiction, un suivi médical ou psychothérapeutique serait à envisager, l’hypnose est alors à considérer en complément d’un traitement approprié.

 

Libéré de l’addiction

Hélas, se débarrasser d’une habitude qui nous dérange n’est pas toujours facile. On peut alors faire appel à une aide extérieure : soutien psychologique, traitement médicamenteux, etc. Par l’hypnose on fait appel à une aide intérieure : l’inconscient.

En réalité, l’hypnose ne libère pas d’une addiction, elle permet d’accompagner une volonté consciente déjà bien établie en renforçant la résolution au niveau de l’inconscient. Concrètement, l’hypnose aide à combler la sensation de manque, à diminuer le sentiment d’effort et à tranquilliser.

 

Pour de bon

Dans tout sevrage le risque de rechute existe ; ainsi que le risque de compensation par une autre forme d’addiction. L’hypnose réduit ces risques en vous débarrassant des raisons qui soutiennent l’addiction.

Il convient alors de trouver le bon moment pour vous désaccoutumer à votre manière et selon le rythme qui vous correspond ; puis d’établir en profondeur votre nouveau « moi » libéré définitivement de l’addiction.